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M. et Mme Tout-le-monde, experts reconnus en santé
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
POST PORTEM D’UNE TEMPÊTE SANS PRÉCÉDENT : LE PREMIER MINISTRE DEMANDE PARDON
Montréal, le 15 mars 2017. – En réponse aux difficultés majeures de communication et de coordination qui sont survenues lors de la tempête du 14 mars, le Cabinet du Premier ministre tient au aujourd’hui à présenter ses excuses les plus sincères aux gens qui se trouvaient sur l’autoroute 13 – ainsi qu’à leurs familles et aux proches de ces derniers.
« Je veux, au nom du gouvernement et en mon nom, présenter mes excuses aux gens qui ont été insécurisés, blessés, aux familles des victimes ».
- Philippe Couillard, Premier ministre du Québec
« Hier, j’ai exprimé mon mécontentement. Je suis plus mécontent ce matin parce que je vois des évidences de cafouillage majeur, que ce soit sur le nombre d’appels du corps de police aux transports ou la liaison entre les transports aux autorités municipales. Les questions augmentent ou s’accumulent plutôt que de diminuer ».
- Philippe Couillard, Premier ministre du Québec
Un problème de communication et de concertation entre les différents acteurs impliqués sur le terrain, ainsi qu’au gouvernement même, serait au cœur du débat entourant l’origine du « cafouillage ».
« Je pense que la circulation de l’information a été manquante, poursuit M. Coiteux. Je ne suis pas satisfait, mais j’ai absolument l’intention [de demander] que toute la lumière soit faite là-dessus. »
- Martin Coiteux, ministre de la Sécurité civile du Québec
Rappelons ici les faits qui ont mené au « cafouillage » de l’autoroute 13. En date du 14 mars, la ville de Montréal s’est vue ensevelit par l’une des pires tempêtes de neige que le Québec a connu depuis 1961. En conséquences, et considérant le manque de communication entre les différents paliers de gouvernance, 300 personnes sont restées coincées dans leurs véhicules en attendant l’arrivée des secours – secours qui ont tardé à se manifester. Ajoutons que certaines personnes sont demeurés captives de leur véhicule pendant près de 13 heures. Les secours ont finalement donné signe de vie aux petites heures du matin.
Source : Lavinia Létourneau-Ross, relationniste de presse, Cabinet du Premier Ministre, 835 Boulevard René-Lévesque E 3e étage, Ville de Québec, QC G1A 1B4.
Tourisme Québec surprendre encore une fois avec le lancement de sa publicité le 20 mars 2017, en renforçant sa marque « Québec Original »
LE COMMERCE INTERNATIONAL : RETOUR DES MODÈLES PROTECTIONNISTES
Washington, le 20 janvier 2017, l’investiture de Donald Trump rompe avec le passé et toute les investitures des deux derniers siècles. Fidèle à sa campagne électorale, une seule chose est certaine, nous nageons dans l’incertitude.
D’entrée de jeu, le nouveaux Président a commenté son inauguration à l’aide de son compte Twitter sur lequel il a rappelé que le 20 janvier 2017 serait le point tournant où le peuple Américain reprendra le contrôle de leur pays. « January 20th 2017, will be remembered as the day the people became the rulers of this nation again.” La remise en cause d’ententes passées et encours de négociation laisse entrevoir un recul de 30 ans relativement aux ententes de libre-échanges. Les échanges économiques entre les pays sont dans plusieurs cas synonyme d’emplois et de prospérité. En effet, Trump remet en question les réels avantages des ententes de libre-échange pour les États-Unis et préconise une approche protectionniste malgré le fait que les ententes de libre-échange ont une longue histoire dans les pays industrialisés.
L’État Québécois a traversé plusieurs transformations depuis les années 60. Lors de la révolution tranquille, les Québécois ont littéralement racheté l’économie québécoise pour former le « Québec inc. » Ce modèle protectionniste relevant des entrepreneurs qui travaillaient entre eux et en partenariat avec l’État avait pour objectif commun de protéger l’économie et les emplois de notre province, une forme de « destin national ». Suite à la défaite référendaire de 1980, ce modèle a perdu sa synergie au profit des marchés internationaux. L’objectif ultime de ces entrepreneurs est maintenant la compétitivité dans ce marché mondial au prix de la souveraineté avec les profits au premier plan. Ce modèle économique a fait ses preuves et assure actuellement l’équilibre commercial de l’économie Québécoise.
Remettre en question le commerce par la renégociation d’ententes, tel que l’ALÉNA, aura un impact inévitable sur l’économie Canadienne et Québécoise. Fait important, 50% du PIB Québécois dépend des exportations vers le reste du monde, dont 70% de ces exportations (35% du total) sont destinées à nos voisins du sud (É-U).
Donald Trump à titre de Président des États-Unis laisse entrevoir des difficultés importantes sur le plan politique et économique. Parmi ces enjeux, l’ALÉNA, est le principal facteur d’attraction des entreprises internationales vers le grand Montréal dont les vertus sont remises en question par le nouveau Président élu. Il est clair que le Québec a besoin d’un accès aux marchés extérieurs et doit profiter des accords de commerce. Profitons du contexte incertain avec les É-U pour se repositionner auprès des économies émergentes sur le plan international. Gardons en tête qu’il ne suffit pas de conclure des ententes avec les autres pays, nous devons également en respecter les règles et faire preuve de discipline afin d’être un joueur et partenaire fiable.
Pour information :
Stéphane Tranquille, Tél. : 450 461-1481, poste 225, s.tranquille@videotron.ca
Le directeur du FBI, James Comey, a annoncé le 20 mars 2017 qu’une enquête aurait lieu concernant une possible interférence du gouvernement russe pendant la campagne présidentielle américaine. Cette révélation est venue miner les propos du président américain Donald J. Trump publiés quelques heures plus tôt sur Twitter, selon lesquels la rumeur voulant qu’une telle enquête ait lieu était une « fausse nouvelle » (« fake news ») orchestrée par les démocrates.
L’enquête du FBI devrait porter « sur la nature de tout lien entre des individus liés à l’équipe de campagne Trump et le gouvernement russe pour déterminer s’il y a eu coordination ». Bien que le New York Times du 14 février dernier ait révélé que des organisateurs de la campagne de Trump avaient eu des conversations avec les services de renseignement russes, rien ne permet à ce jour d’affirmer hors de tout doute qu’une collaboration illicite a eu lieu entre l’entourage de Trump et le Kremlin.
sana kaabachi
sana.kaabachi@enap.ca
438.990.2389
Le Service canadien de jumelage des résidents (CaRMS), qui est responsable d’assigner les étudiants gradués en médecine à la résidence où ils souhaitent poursuivre leur formation, révélait dans un rapport rendu public le 2 mars 2017 que 85 postes de médecine familiale ont été laissés vacants au Québec au premier tour. Seulement 10 postes demeurent pourtant vacants dans l’ensemble des autres spécialités médicales.
La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) explique cette réticence des étudiants en médecine à mener leur internat en médecine familiale par les mesures coercitives prévues par la loi 20, qui a fixé à 85 % le nombre de Québécois devant avoir accès à un médecin de famille d’ici à 2018. Les résultats du deuxième tour de jumelage seront annoncés le 12 avril prochain, moment auquel nous saurons combien des 85 postes demeureront définitivement vacants.
sana kaabachi
sana.kaabachi@enap.ca
438.990.2389
Volleyball féminin universitaire.
Les Citadins de l’UQAM en arrachent.
Montréal 3 Février 2017 – Plus de cinquante supporteurs de l’université de l’UQAM ont assisté aujourd’hui à la défaite (3 – 1) de leurs favorites contre les Carabins de l’UDM au centre sportif des Citadins. Ce fut une défaite difficile à avaler pour les supporteurs et les Citadins. Avec quatre jeux à faire à la saison régulière, les Citadins de l’UQAM se situent sixième à quatre points d’une place en demi-finale provinciale et a quatorze point du leader, l’UDM. À l’exception du Rouge & Or de Laval les citadins ont battu au moins une fois cette saison leurs prochaines adversaires. Selon un des supporteurs ceci doit être un fait encourageant.
Le surtitre: Le gouvernement roumain adopte un décret d’urgence pour assouplir le code pénal
Titre : La diaspora roumaine en colère
Montréal 3 Février 2017 – Plus de cinquante citoyens roumains se sont mobilisées aujourd’hui devant le consulat roumain à Montréal pour contester à leur tour l’assouplissement de la législation anticorruption. Des manifestations semblables ont eu lieu un peu partout dans le monde et visent à dénoncer l’adoption à la vas vite par le gouvernement roumain d’un décret d’urgence qui touche près de 2500 détenus, dépénalise plusieurs infractions et rend l'abus de pouvoir passible de peines de prison uniquement s'il provoque un préjudice supérieur à 44 000 euros. Plusieurs manifestants se sont rendus sur place avec des affiches mentionnant « résiste », « la corruption tue », « démocratie, intégrité, pas d’immunité » et criant « PSD, peste rouge ». En Roumanie plus de 250 000 roumains ont manifesté chaque jour à travers le pays contre l’adoption du décret. Les ambassades des États-Unis, du Canada, d'Allemagne, de France, des Pays-Bas et de la Belgique ont exprimé leur inquiétude.
Pour diffusion immédiate
25 MILLIONS $ AUX ENFANTS MONTRÉALAIS
Lancement du plan d’action montréalais en lien avec la Politique de l’enfant
Quand la négociation vous piège…
LA LOI 90 FRAPPE LES INFIRMIÈRES EN PLEINE GUEULE
Novembre 2016, le MSSS met en place un programme de formation obligatoire pour les infirmières. Suite aux négociations salariales, le gouvernement accepte de verser un pourcentage aux infirmières, mais leur impose un programme de formation au rebond. L’un n’ira pas sans l’autre. L’effet d’une bombe dans le réseau fait «sauter» les quelque 40 000 infirmières techniciennes inscrites au tableau de l’OIIQ. Le programme de formation de 25 heures portant sur l’évaluation physique et mentale de la personne devra être développé par la Direction des soins infirmiers des divers centres hospitaliers, et ce dans le Québec en entier. Toutes les infirmières techniciennes devront s’y soumettre.
Les DSI devront développer le programme de formation et le mettre en application dès le début de l’année 2017. Celui-ci s’échelonnera jusqu’en 2020. À court de financement, elles devront couper dans certains programmes de formation dédiés au développement de la pratique infirmière puisque le gouvernement n’entend pas servir de budget supplémentaire.
De son côté, la FIQ tente d’adoucir la situation en exposant certains aspects positifs du programme dans une communication sur son site internet. Elle présente les étapes du programme de formation, les objectifs visés par celui-ci ainsi que la provenance de ce programme obligatoire. Bien qu’il s’agisse d’une formation accréditée et reconnue par le programme de formation continue obligatoire de l’OIIQ, les infirmières sont en rogne, car une fois de plus, on vient de tracer une ligne entre les techniciennes et les bachelières aux yeux de la population québécoise.
Depuis plusieurs années l’OIIQ encourage la formation universitaire et tente de rendre obligatoire le baccalauréat. Pour les infirmières issues de la formation collégiale, c’est une insulte. À mon avis, lorsqu’une telle image est véhiculée dans la population, il y a ce petit peuple qui pense que les infirmières techniciennes sont moins bonnes ou moins formées que les autres et qu’elles risquent de mettre en péril la vie des patients alors que ce n’est pas le cas. Les compétences de l’infirmière ne se différencient pas au gré de la scolarité, mais plutôt dans le développement professionnel et les compétences acquises. Le clivage doit cesser.
Rimbault la nurse
L'Impact des activités sportives sur la réussite scolaire des jeunes
Montréal, le 26 février 2017. U.S. Department of Health and Human Services dit que la santé, le bien-être et la réussite éducative des jeunes sont intimement liés. Et donc, la pratique régulière d’activités physiques et, de surcroit, un mode de vie sans tabac ont un impact positif sur la performance à l’école et sur la persévérance scolaire. L’OMS corrobore également à cette thèse. Elle ajoute que l’activité physique a un impact positif significatif sur les résultats scolaires et sur la poursuite des études. De ce fait, le Conseil municipal de la Ville de Montréal a mis en place des politiques visant à soutenir les organismes communautaires encadrant les jeunes athlètes à toutes les saisons. Il invite les parents à inscrire leurs enfants dans différentes disciplines pour combattre le décrochage scolaire.
Pour plus d’informations, voir les Directions de la culture,
des sports, des loisirs et du développement social
de chaque Arrondissement
Dimanche le 27 novembre dernier, j’ai assisté au brunch participatif, qui avait pour thème : mondialisation et libre-échange : quelles menaces ? J’ai eu l’heureux privilège de rencontrer de près : Monsieur Raymond Bachand, Monsieur John Parisella et Madame Fatima Houda Pepin. Tout juste avant le débat, Mr. Trudel a souligné le parcours exceptionnel de Madame Christine Black, une étudiante de l’ÉNAP devenue mairesse de Montréal-Nord, depuis avril dernier.
Monsieur Raymond Bachand, ex-ministre des finances du Québec, était le premier orateur à parler de la mondialisation sous l’angle du libre-échange et de la technologie. Il a parlé des accords de libre-échange entre Europe et le Canada et surtout le rôle du Québec dans le monde et au-delà des frontières. Il a aussi parlé comment le Québec, par de nombreux stratégies, a su faire face tant bien que mal à la crise de 2008. Il a dit qu’on doit être une société qui doit se battre et être fière de ce qu’on est. Il a aussi dit qu’on doit respecter la main d’œuvre et ne pas en faire l’exploitation. Ce que j’ai aussi retenu de son discours c’est : «: les technologies ont fait ralentir l’exploitation des enfants. L’éducation devrait être notre première préoccupation ». Il a fait un parallèle sur la société québécoise, qui a beaucoup évolué; car autrefois, les femmes, les canadiens français, les immigrants ne pouvaient accéder à des postes de directeurs général ou des postes haut placé dans des entreprises. Ainsi, la mondialisation a fait changer les mentalités. Il a aussi insisté sur le fait de garder les industries au Québec et qu’on doit encourager les producteurs agricoles du Québec.
Ensuite, c’était Madame Fatima Houda Pepin, l’ancienne député du partie libéral, a surtout débattu sur la gestion de la diversité religieuse dans les institutions publiques. Juste avant de prendre d’entrer à fond sur son sujet, elle ajoute à l’exposé de Raymond Bachand ce point : la mondialisation englobe le capital (argent) et que de vouloir faire du profit coûte que coûte peut engendrer les ravages de la mondialisation lorsque non contrôlé, créant ainsi : « l’aggravation de la pauvreté ». Elle ajoute : « les religions sont porteuses de rapprochement mais aussi de conflit. Elle dit qu’elle n’a pas de problème avec la religion mais c’est avec les leaders qui se prennent pour dieu. Elle a un peu parlé de l’Arabie Saoudite qui est opposée à la déclaration universelle qui est contre l’égalité homme-femme et le principe de la liberté de religion. Elle poursuit son discours en disant qu’il faut nous préparer à faire face à la naissance de l’extrémiste religieux (idéologie, projet politique). Mais les politiciens du Québec ont peur d’établir des lois pour empêcher la montée de l’extrémiste religieux.
Puis, nous avons entendu John Parisella, professeur, politicologue et ancien délégué général du Québec à New York, qui nous a surtout élaboré des aspects politiques de la mondialisation. Dans la mondialisation, il y a aussi la modernisation. Peu importe le parti politique qui est en place, il a la continuité, le progrès. Le mouvement souverainiste est un mouvement progressif depuis sa création avec René Lévesque qui, lui avait une grande vision du Québec dans le monde. L’évolution du Québec s’est fait au-delà des frontières. La vision politique évolue se transforme et parfois peut créer une certaine instabilité, tension et même des inquiétudes. Par, exemple, l’élection de Donald Trump (« qui aurait à cette victoire »), le Brexit, la France (plus à gauche) et l’Allemagne avec Angela Merkel (une femme au pouvoir). Il a aussi dit qu’il ne faut pas négliger la sécurité car depuis les évènements du 11 septembre 2001, c’est un enjeu majeur de la mondialisation.
Il a aussi eu une période de question, ce que Monsieur Trudel appel : « la spontanéité planifiée ».
La question qui m’a plus intéressée c’est sur la question sur l’immigration et leur intégration. Comment favoriser l’intégration des immigrants surtout sur le marché du travail ? Plusieurs personnes immigrent au Québec pour différentes causes (guerre, pauvreté, etc) et en arrivant au Québec, ils font faces à plusieurs obstacles. L’obstacle majeur c’est la non reconnaissance de leur diplôme et de leurs expériences hors Québec, du coup le marché du travail devient ardu, certains immigrants retournent chez eux ou quittent massivement le Québec. Les ordres professionnels sont trop protecteurs et rigides. Les solutions proposées pour bien intégrer les immigrants c’est de faciliter leur accès au marché du travail et de reconnaître leur expertise acquise à l’extérieur du Québec.
Madame Fatima Houda-Pépin souligne que l’intégration des enfants se fait à l’école et des parents sur le marché du travail. Donc, selon elle la clé du succès c’est de créer des conditions favorables qui permettent aux parents immigrants de pouvoir travailler et faire en sorte qu’ils y restent dans cette terre d’accueil. De plus, pour pouvoir bien s’intégrer il faut travailler en français et d’être avec des francophones.
John Parisella a dit que : l’immigration et la diversité se sont des richesses qu’il faut célébrer. Il clôture « qu’ensemble on est plus fort ».
En résumé, ce que je retiens sur la mondialisation et de ce débat c’est que les progressions des technologies ont fait diminuer l’exploitation des enfants ; les femmes ont plus accès à poste de haut niveau dans la société et au sein des entreprises. Il reste plusieurs défis à la mondialisation, entre autre l’élimination des classes sociales et la diminution des écarts entre pauvres et les riches. C’est très bien d’ouvrir les frontières et faciliter l’immigration mais il faut améliorer et faciliter un plus grand accès aux marchés du travail, entre autre reconnaître les expériences acquises dans leur pays d’origine.
BAuguste
Les économies collaboratives ont toujours existé. Notre ère d’industrialisation a été précédé par l’économie d’artisanat où, l’un, bon avec la menuiserie, fabriquait les chaises pour ses Co-villageois, l’autre s’occupait de faire plus de pain, et se troquait le tout. Aujourd’hui, l’État et l’économie capitaliste ont remplacé ces types d’activités, mais un retour en arrière est-il possible ?