QUÉBEC, AUSSI ORIGINAL COMME SA NOUVELLE PUBLICITÉ
Tourisme Québec surprendre encore une fois avec le lancement de sa publicité le 20 mars 2017, en renforçant sa marque « Québec Original »
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Tourisme Québec surprendre encore une fois avec le lancement de sa publicité le 20 mars 2017, en renforçant sa marque « Québec Original »
LE COMMERCE INTERNATIONAL : RETOUR DES MODÈLES PROTECTIONNISTES
Washington, le 20 janvier 2017, l’investiture de Donald Trump rompe avec le passé et toute les investitures des deux derniers siècles. Fidèle à sa campagne électorale, une seule chose est certaine, nous nageons dans l’incertitude.
D’entrée de jeu, le nouveaux Président a commenté son inauguration à l’aide de son compte Twitter sur lequel il a rappelé que le 20 janvier 2017 serait le point tournant où le peuple Américain reprendra le contrôle de leur pays. « January 20th 2017, will be remembered as the day the people became the rulers of this nation again.” La remise en cause d’ententes passées et encours de négociation laisse entrevoir un recul de 30 ans relativement aux ententes de libre-échanges. Les échanges économiques entre les pays sont dans plusieurs cas synonyme d’emplois et de prospérité. En effet, Trump remet en question les réels avantages des ententes de libre-échange pour les États-Unis et préconise une approche protectionniste malgré le fait que les ententes de libre-échange ont une longue histoire dans les pays industrialisés.
L’État Québécois a traversé plusieurs transformations depuis les années 60. Lors de la révolution tranquille, les Québécois ont littéralement racheté l’économie québécoise pour former le « Québec inc. » Ce modèle protectionniste relevant des entrepreneurs qui travaillaient entre eux et en partenariat avec l’État avait pour objectif commun de protéger l’économie et les emplois de notre province, une forme de « destin national ». Suite à la défaite référendaire de 1980, ce modèle a perdu sa synergie au profit des marchés internationaux. L’objectif ultime de ces entrepreneurs est maintenant la compétitivité dans ce marché mondial au prix de la souveraineté avec les profits au premier plan. Ce modèle économique a fait ses preuves et assure actuellement l’équilibre commercial de l’économie Québécoise.
Remettre en question le commerce par la renégociation d’ententes, tel que l’ALÉNA, aura un impact inévitable sur l’économie Canadienne et Québécoise. Fait important, 50% du PIB Québécois dépend des exportations vers le reste du monde, dont 70% de ces exportations (35% du total) sont destinées à nos voisins du sud (É-U).
Donald Trump à titre de Président des États-Unis laisse entrevoir des difficultés importantes sur le plan politique et économique. Parmi ces enjeux, l’ALÉNA, est le principal facteur d’attraction des entreprises internationales vers le grand Montréal dont les vertus sont remises en question par le nouveau Président élu. Il est clair que le Québec a besoin d’un accès aux marchés extérieurs et doit profiter des accords de commerce. Profitons du contexte incertain avec les É-U pour se repositionner auprès des économies émergentes sur le plan international. Gardons en tête qu’il ne suffit pas de conclure des ententes avec les autres pays, nous devons également en respecter les règles et faire preuve de discipline afin d’être un joueur et partenaire fiable.
Pour information :
Stéphane Tranquille, Tél. : 450 461-1481, poste 225, s.tranquille@videotron.ca
Le directeur du FBI, James Comey, a annoncé le 20 mars 2017 qu’une enquête aurait lieu concernant une possible interférence du gouvernement russe pendant la campagne présidentielle américaine. Cette révélation est venue miner les propos du président américain Donald J. Trump publiés quelques heures plus tôt sur Twitter, selon lesquels la rumeur voulant qu’une telle enquête ait lieu était une « fausse nouvelle » (« fake news ») orchestrée par les démocrates.
L’enquête du FBI devrait porter « sur la nature de tout lien entre des individus liés à l’équipe de campagne Trump et le gouvernement russe pour déterminer s’il y a eu coordination ». Bien que le New York Times du 14 février dernier ait révélé que des organisateurs de la campagne de Trump avaient eu des conversations avec les services de renseignement russes, rien ne permet à ce jour d’affirmer hors de tout doute qu’une collaboration illicite a eu lieu entre l’entourage de Trump et le Kremlin.
sana kaabachi
sana.kaabachi@enap.ca
438.990.2389
Le Service canadien de jumelage des résidents (CaRMS), qui est responsable d’assigner les étudiants gradués en médecine à la résidence où ils souhaitent poursuivre leur formation, révélait dans un rapport rendu public le 2 mars 2017 que 85 postes de médecine familiale ont été laissés vacants au Québec au premier tour. Seulement 10 postes demeurent pourtant vacants dans l’ensemble des autres spécialités médicales.
La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) explique cette réticence des étudiants en médecine à mener leur internat en médecine familiale par les mesures coercitives prévues par la loi 20, qui a fixé à 85 % le nombre de Québécois devant avoir accès à un médecin de famille d’ici à 2018. Les résultats du deuxième tour de jumelage seront annoncés le 12 avril prochain, moment auquel nous saurons combien des 85 postes demeureront définitivement vacants.
sana kaabachi
sana.kaabachi@enap.ca
438.990.2389
Volleyball féminin universitaire.
Les Citadins de l’UQAM en arrachent.
Montréal 3 Février 2017 – Plus de cinquante supporteurs de l’université de l’UQAM ont assisté aujourd’hui à la défaite (3 – 1) de leurs favorites contre les Carabins de l’UDM au centre sportif des Citadins. Ce fut une défaite difficile à avaler pour les supporteurs et les Citadins. Avec quatre jeux à faire à la saison régulière, les Citadins de l’UQAM se situent sixième à quatre points d’une place en demi-finale provinciale et a quatorze point du leader, l’UDM. À l’exception du Rouge & Or de Laval les citadins ont battu au moins une fois cette saison leurs prochaines adversaires. Selon un des supporteurs ceci doit être un fait encourageant.
Le surtitre: Le gouvernement roumain adopte un décret d’urgence pour assouplir le code pénal
Titre : La diaspora roumaine en colère
Montréal 3 Février 2017 – Plus de cinquante citoyens roumains se sont mobilisées aujourd’hui devant le consulat roumain à Montréal pour contester à leur tour l’assouplissement de la législation anticorruption. Des manifestations semblables ont eu lieu un peu partout dans le monde et visent à dénoncer l’adoption à la vas vite par le gouvernement roumain d’un décret d’urgence qui touche près de 2500 détenus, dépénalise plusieurs infractions et rend l'abus de pouvoir passible de peines de prison uniquement s'il provoque un préjudice supérieur à 44 000 euros. Plusieurs manifestants se sont rendus sur place avec des affiches mentionnant « résiste », « la corruption tue », « démocratie, intégrité, pas d’immunité » et criant « PSD, peste rouge ». En Roumanie plus de 250 000 roumains ont manifesté chaque jour à travers le pays contre l’adoption du décret. Les ambassades des États-Unis, du Canada, d'Allemagne, de France, des Pays-Bas et de la Belgique ont exprimé leur inquiétude.
Pour diffusion immédiate
25 MILLIONS $ AUX ENFANTS MONTRÉALAIS
Lancement du plan d’action montréalais en lien avec la Politique de l’enfant
Quand la négociation vous piège…
LA LOI 90 FRAPPE LES INFIRMIÈRES EN PLEINE GUEULE
Novembre 2016, le MSSS met en place un programme de formation obligatoire pour les infirmières. Suite aux négociations salariales, le gouvernement accepte de verser un pourcentage aux infirmières, mais leur impose un programme de formation au rebond. L’un n’ira pas sans l’autre. L’effet d’une bombe dans le réseau fait «sauter» les quelque 40 000 infirmières techniciennes inscrites au tableau de l’OIIQ. Le programme de formation de 25 heures portant sur l’évaluation physique et mentale de la personne devra être développé par la Direction des soins infirmiers des divers centres hospitaliers, et ce dans le Québec en entier. Toutes les infirmières techniciennes devront s’y soumettre.
Les DSI devront développer le programme de formation et le mettre en application dès le début de l’année 2017. Celui-ci s’échelonnera jusqu’en 2020. À court de financement, elles devront couper dans certains programmes de formation dédiés au développement de la pratique infirmière puisque le gouvernement n’entend pas servir de budget supplémentaire.
De son côté, la FIQ tente d’adoucir la situation en exposant certains aspects positifs du programme dans une communication sur son site internet. Elle présente les étapes du programme de formation, les objectifs visés par celui-ci ainsi que la provenance de ce programme obligatoire. Bien qu’il s’agisse d’une formation accréditée et reconnue par le programme de formation continue obligatoire de l’OIIQ, les infirmières sont en rogne, car une fois de plus, on vient de tracer une ligne entre les techniciennes et les bachelières aux yeux de la population québécoise.
Depuis plusieurs années l’OIIQ encourage la formation universitaire et tente de rendre obligatoire le baccalauréat. Pour les infirmières issues de la formation collégiale, c’est une insulte. À mon avis, lorsqu’une telle image est véhiculée dans la population, il y a ce petit peuple qui pense que les infirmières techniciennes sont moins bonnes ou moins formées que les autres et qu’elles risquent de mettre en péril la vie des patients alors que ce n’est pas le cas. Les compétences de l’infirmière ne se différencient pas au gré de la scolarité, mais plutôt dans le développement professionnel et les compétences acquises. Le clivage doit cesser.
Rimbault la nurse