Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

leader mondial

  • oui on est les meilleurs (Blog2 ECHOUR)

    Oui on est les meilleurs

    « Je me souviens » : St Amable en 1990 par une journée d’été, quelques 5 millions de pneus ont flambées durant 6 jours créant un smog d’une épaisseur foudroyante se faisant sentir sur des dizaines de kilomètres envahissant le ciel d’un fumée noire et toxique comme rarement nous a été donné d’assister ici. Pendant les semaines qui s’en sont suivies, 12 millions de dollars plus tard ont été nécessaire pour décontaminer les sols. Comme bien souvent dans l’histoire, il suffit d’une catastrophe pour réaliser que la mise sur pied d’alternatives est nécessaire pour la sécurité, le développement ou le maintien d’une saine hygiène environnemental. Ainsi, l’historique du recyclage des pneus au Québec est une histoire jeune de moins de 20 ans. Quoique devenu précurseur dans le développement des nouvelles technologies du ré usinage du pneu, ses débuts on été propulsés par une grande catastrophe environnemental. Auparavant, les dépotoirs de pneus usagés étaient à ciel ouvert avec un minimum d’infrastructures régissant la sécurité des lieux. Malgré les dangers inflammable relié aux pneus, rien n’avait jusqu’à lors été pensé pour éviter de telle catastrophe. Voilà un enjeu de notre administration québécoise, suite à cette catastrophe et étant donné qu’on classe les vieux pneus dans la catégorie des déchets solides des municipalités, leur élimination est de compétence provinciale et municipale. Donc, plusieurs groupes environnementaux et des élus gouvernementaux se sont penchés sur l’urgence de mettre sur pied des stratégies pour éviter que cela ne se reproduise.  La réaction de l’administration la création de la société recyc-quebec Le ministre responsable de l’application de la loi constitutive de RECYC-QUÉBEC, la Loi sur la Société québécoise de récupération et de recyclage (L.R.Q., c. S-22.01) est le ministre du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs. Depuis sa création en 1990, la société RECYC-QUÉBEC est progressivement devenue un acteur majeur de la gestion responsable des matières résiduelles, particulièrement en ce qui concerne les questions de réduction, de réemploi, de recyclage et de valorisation, agissant à ces égards comme l’interlocutrice du gouvernement et des représentants de l’industrie de la mise en valeur des matières résiduelles , en ce qui concerne les pneus 3 programmes se sont succéder avec une totale réussite  les programmes de gestion intégrée des pneus hors d’usage , le dernier en date celui de 2009-2012 pour entériner le dernier site d’enfouissement des pneus « le dépôt Franklin » où quelque 30 millions de pneus attendent d’être traiter , tous cela est financé par les droits environnementaux de 3dollars par pneu acheté. en 2009,  les redevances ont produit un revenu annuel net de 22,4 millions de dollars, consacré au programme. Le revenu est dépensé pour le transport (42,5 %), la transformation (environ 30 %), la recherche (1,7 %) et la réduction de l’accumulation (25,8 %). Les coûts unitaires nets varient d’une année à l’autre, à mesure que les réserves diminuent. Lorsque le programme ne devra récupérer que les pneus actuellement produits, les coûts diminueront et se stabiliseront. Recy-quebec pourra se retirer en laissant en place une machine bien rodée, à tel point que on est l’exemple, le leader mondial et on est fière, ils nous copient dans les provinces mais ils sont toujours à la traine, on nous dit que l’Europe est leader en écologie mais si on se compare avec le leader européen en gestion des pneus qui est la France , et bien il est très loin derrière car 30% des flux pneumatiques lui échappe et se retrouve dans des décharges sauvages soit parce qu’il ne maitrise pas les transactions sur internet soit parce que certaines importateurs ne jouent pas le jeux environnemental , mais nous on maitrise et puis certes on est des verts.  

    Les considérations écologiques sont importantes et le processus se déroule bien. De plus, fait non-négligeable, cela créer de l’emploi pour l’industrie québécoise. Il est à noter qu’environ quelques 710 emplois sont en vigueur quant à la production du recyclage et du ré usinage de pneus, Subventionnée également en partie par le 3 dollars du pneu acheté, les entreprises, par le ré usinage arrive à créer de nouvelles technologies qui servent au quotidien et à l’amélioration des infrastructures routières et récréatives. Voila un autre pôle d’excellence du Québec, oui on peut le dire haut et fort : on est les meilleurs.