Communiqué de presse - Isabelle Lefebvre
Bonjour voici mon premier communiquéCommuniqué - Destination milieu de vie - 26 mars.doc de presse dans le cadre du cours ENP8020
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Bonjour voici mon premier communiquéCommuniqué - Destination milieu de vie - 26 mars.doc de presse dans le cadre du cours ENP8020
Communiqué de presse
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Montréal, 10 mars 2016 – Le service de Sécurité incendie de la ville de l’ÉNAP tient à informer les citoyens l’importance d’avoir un avertisseur de fumée fonctionnel en tout temps. Le changement d’heure est une bonne occasion de vérifier sa fonctionnalité.
En 2015, sept personnes sont décédées des suites d’un incendie sur l’île de Montréal. La moyenne d’âge des personnes ayant perdu la vie est de 75 ans. La majorité des tragédies se sont produites lors d’incendies mineurs survenus chez des personnes âgées autonomes occupant un logis.
Contribuez à assurer la sécurité de votre maisonnée et des êtres qui vous sont chers en revoyant avec eux les comportements sécuritaires à adopter en cas d’incendie. Lorsque vous visitez une personne âgée, prenez un moment et offrez-lui de vérifier son avertisseur de fumée. Il s’agit d’un petit geste qui peut faire toute la différence.
Rappel : L’avertisseur de fumée est obligatoire en vertu du règlement 1616.
Afin de vérifier votre avertisseur de fumée, vous n’avez qu’à appuyer quelques secondes sur le bouton d’essai pour entendre le signal.
S’il émet un signal immédiatement après le remplacement de la pile, il est en bon état
S’il émet un signal intermittent, la pile doit être changée immédiatement
S’il n’émet pas de signal après le remplacement de la pile, changez l’avertisseur
Visitez le
Renseignements :
Dominic Patrie, ing. Relationniste médias
Section des communications et des relations avec les médias
Service de sécurité incendie
Ville de l’ÉNAP
Ligne média : 450-849-3449, du lundi au vendredi, entre 8 h et 17 h
Téléavertisseur urgence-média : 438-849-3449, le soir et la fin de semaine
Twitter : @ENAP_SSI
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Les enquêteurs du poste de la MRC Deux-Montagnes, en collaboration avec la Sûreté Municipale de Deux-Montagnes, ainsi que le Service d'enquêtes régionales de la Sûreté Nationale, ont procédé hier, à l'arrestation d'un groupe de trois individus en lien avec des incendies ciblant des commerces licenciés en vente d’alcool, ainsi que de véhicules dans la municipalité de Pointe-Calumet, ainsi que dans les villes de Deux-Montagnes et de Saint-Eustache.
Les individus devraient comparaître aujourd'hui au palais de justice de Saint-Jérôme. Ils feront face à des accusations en lien avec des incendies criminels, de menaces, d’extorsion, vol, ainsi que recel. L'enquête se poursuit et d'autres accusations pourraient être déposées contre ces individus, puisque plusieurs autres incendies sont survenus dans ce secteur, depuis les trois dernières années principalement en lien avec des commerces étant des établissements licenciés en vente d’alcool.
Les suspects ont été arrêtés vers 4h00 alors qu'ils se trouvaient dans le stationnement extérieur d’un bar de Deux-Montagnes, en possession de biens incendiaires. Des perquisitions ont permis de retrouver d’autres biens incendiaires, ainsi que de cinq remorques, quatre motoneiges et deux VTT volés.
Cette enquête a été initiée à la suite d'une intervention policière survenue en juillet dernier sur la Montée de la Baie à Pointe-Calumet qui était liée à un dossier de tentative d’incendie criminel. L'enquête a permis d'identifier un endroit où les biens incendiaires étaient amenés après avoir volés. Une perquisition effectuée sur le terrain d'un ferrailleur à Sainte-Marthe-sur-le-Lac a notamment permis aux policiers de récupérer ces biens incendiaires ainsi que les autres biens volés.
L’enquête a également permis de démontrer que les trois individus arrêtés œuvraient pour le compte d’une organisation criminelle structurée reliée aux groupes de motards criminalisés visant le contrôle et la vente de stupéfiant sur la rive-Nord de la grande région métropolitaine de Montréal dans des établissements licenciés.
Rappelons que toute information concernant ce type d'évènement peut être communiquée, confidentiellement, à la Centrale de l'information criminelle de la Sûreté Nationale au 1-800-849-3989.
Dominic Patrie, ing., Relationniste médias
Service des communications avec les médias
Sûreté Nationale
Montréal – Grand quartier général
514-849-3989
www.sn.qc.ca
Salaberry-de-Valleyfield, le 10 mars 2016
Entre 4 et 7 %, des aînés du Québec sont victimes d’une forme d’abus : - Maltraitance physique – Maltraitance émotionnelle – Maltraitance sexuelle – Maltraitance matérielle ou financière – Violation des droits de la personne – Négligence. Ainsi, dans la Vallée du Haut- St-Laurent, entre 7000 et 11 000 aînés connaissent la maltraitance. Les différents partenaires du milieu se sont rassemblés et ont lancé, le 25 février 2016, le Plan d’action 2015-2017 contre la maltraitance et les abus envers les aînés de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent, nommé le projet SAVA (Soutien aux aînés victimes d’abus).
L’objectif du SAVA n’est pas d’élaborer des projets, mais de soutenir les initiatives locales dans les 5 MRC du territoire. Pour ce faire, l’équipe du SAVA-VHSL met des ressources à la disposition des intervenants et gestionnaires, encourage le travail intersectoriel entre les différents acteurs du milieu (organismes, corps policier, domaine de la santé), afin que chaque communauté puisse promouvoir la bientraitance et contrer les abus et l’intimidation. Des campagnes de promotion et de sensibilisation ainsi que des activités de formation seront organisées dans les mois à venir pour démystifier la notion de maltraitance.
Le SAVA-VHSL s’adresse aux personnes de plus de 50 ans, même si la société attribue généralement le titre d’aînés aux personnes de plus de 65 ans. « Nous avons choisi d’inclure dans notre mandat la tranche d’âge 50-64 ans, dans une perspective de prévention. Plus tôt on agit pour éviter les situations d’abus, plus tôt les citoyens seront sensibilisés et sauront reconnaître les signes révélateurs », a laissé savoir Anne Laroche, chargée de projet du SAVA.
En misant sur la prévention et la sensibilisation de la maltraitance envers les aînés de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent, le SAVA-VHSL vise à ce que ceux-ci, représentant 159 775 personnes dans la région en 2014 (94 797 personnes âgées de 50 à 64 ans et 64 978 personnes âgées de 65 ans et plus selon la direction de la Santé publique de la Montérégie en 2016), soient davantage informés et outillés pour vivre un vieillissement actif, heureux et sécuritaire au sein de leur communauté.
Le G.R.A.V.E.S.,(Grand rassemblement des aînés de Vaudreuil et Soulanges). organisme promoteur du projet, a bénéficié d’un financement de la Conférence régionale des élus (CRÉ) Vallée-du-Haut-Saint-Laurent dans le cadre de l’Entente spécifique pour l’amélioration des conditions de vie des personnes aînées 2013-2017. Pour la prochaine année, l’entente se poursuivra sous la responsabilité du Secrétariat aux aînés.
Pour toutes questions sur le projet SAVA-VHSL, ou pour mieux connaître les ressources dédiées aux aînés dans le territoire, visitez le www.legrave.com ou composez le 450 424-0111
Clo Fortin
Candidate à la maîtrise
École Nationale d’administration publique
Ian Lafrenière, commandant des communications et relations médias du Service de police de la Ville de Montréal, vous répondrait d’être prudent, de vous assurer d’être la meilleure personne au sein de votre organisation et de tenir compte de la nature du message à livrer. Êtes-vous dans votre carré de sable? Êtes-vous un bon communicateur?
Bonjour
Voici mon 2 eme communiqué de presse dans le cadre du cors ENP 8020COMMUNIQUÉ DE PRESSE SRP.docx
de Hélène Lamalice
Bonjour
Vous trouverez ci joint mes 2 communiqués de presse (fictifs) dans le cadre du cours ENP 8020 communications publiques, interactions médias et prise de décision e M Rémy Trudel
Bonne lectureCOMMUNIQUÉ DE PRESSE SRP.docxCOMMUNIQUÉ DE PRESSE optilab (Récupéré).docx de Hélène Lamalice
Montréal, le 19 février 2016
Haricot vous offre une plateforme afin de soumettre vos projets, qui vous tiennent à cœur, à une communauté via les réseaux sociaux et le monde contribue monétairement. C’est ce qu’on appelle le sociofinancement. À ce jour, ils ont recueilli plus de 435 000$ pour environ 200 projets.
Communiqué de Presse du Journal de Mourial (fictif)
Publié le 19 novembre 2017 à 20h40
Défusion des CISSS, Barrette avoue s’être trompé. (fictif)
(Québec) Devant les nombreuses critiques du public sur l’adoption des projets de loi 10 et 20 entourant les nouvelles lois des médecins de famille et la fusion des CISSS ( Centre Intégré de Santé et de Services Sociaux), le ministre de la Santé Gaétan Barrette s’est vu forcé d’apporter des « précisions » lors de sa conférence de presse de jeudi matin sur la décision de mettre fin au projet de fusion entamé depuis 2015.
Rappelons que l’article de loi 47 qui précisait que le personnel pouvait être repositionné et demeurer disponible à travailler dans un rayon de 200 kilomètres de leur hôpital d’appartenance a été grandement dénoncé par les travailleurs du réseau de la santé. Les moyens de pression qui se déroulent depuis juillet 2016 se sont produits dans un calme retentissant et les professionnels du réseau public se sont attirés la sympathie et la participation du public.
Ainsi, devant les nombreuses critiques et le mécontentement démontré par la grande majorité du Québec, le ministre Barrette reconnaît ne pas avoir fait assez de recherches et d’études de faisabilité dans ces projets de loi. Il a ajouté qu’après de nombreuses négociations à la table sectorielle, ses députés et lui-même ont décidé de prendre exemple sur le cas de la Colombie Britannique qui avait eu aussi tenté une fusion en 2002, qui s’était avéré un échec total et qui avait défusionné en 2004.
Dans un communiqué de presse diffusé à 20h hier, le cabinet du ministre Barrette a tenu à rappeler au public de demeurer patient et calme dans ce processus de défusion et que d’autres consignes viendront sous peu. Il a affirmé qu’il prend sur ses épaules et qu’il en fait personnellement son cheval de bataille pour la prochaine année, afin qu’une solution efficace et qui met au centre le patient soit trouvée dans les plus brefs délais.
Le Parti Québécois dénonce cette situation que les députés Ivory et Jonhson et Johnson ont catégorisé comme « Le véritable coup de masse dans notre système de santé québécois ». Les professionnels des CSSS, déjà ébranlés par les deux dernières années de fusion ignorent s’ils doivent se réjouir de cette nouvelle ou être en colère. La présidente de la FIQ Régine Laurent a affirmé « Les travailleurs se sentent perdus et ont perdu confiance en leur employeur. Ce n’est pas très prometteur pour l’avenir des CSSS ». -30-
source
Gérard Letourneux
514-648-9000
Pas toujours facile d’être responsable des communications et des relations médias au Service de police de la Ville de Montréal
Montréal, le 7 mars 2016
Le commandant Ian Lafrenière a d’abord été agent relationniste de 1996 à 2005, puis sergent responsable des relations médias entre 2005 et 2012. Depuis 2012, il est le patron de la section des communications et relations médias. Nous l’avons rencontré dans le cadre du cours : Communications publiques, interactions médias et prise de décisions à l’ÉNAP le 19 février dernier. Il nous a informés qu’il avait eu une semaine plutôt mouvementée suite aux bonis versés aux cadres de la SPVM. Il est important de ramener les faits dans le contexte et de réagir rapidement. Il est interpellé par une multitude d’appels et de demandes d’entrevue tous les jours. Parfois, il ne sait pas toute l’histoire, mais il se doit de réagir rapidement sinon la nouvelle se propage et elle prend des proportions démesurées. Les gens se disent que si la nouvelle a passé à la télévision, c’est parce que c’est vrai, mais il y a toujours deux côtés à une histoire.
Le journaliste Pierre-André Normandin a écrit un article dans la presse le 15 février sur la SPVM et le malaise des bonis reliés aux quotas. : Le SPVM a introduit un nouveau programme de bonis pour ses cadres. Ceux-ci sont attribués en fonction de l’atteinte des objectifs stratégiques fixés par la direction du corps policier. L’un d’eux touche le nombre de constats et l’ « établissement d’un minimum par agent ».
Vous comprendrez que cet article a fait réagir fortement le président de la fraternité des policiers de Montréal, monsieur Yves Francoeur. Pour eux, il n’est pas question que les cadres obtiennent des bonis sur la performance des policiers. D'ailleurs, un grief a été déposé contre le directeur Philippe Pichet, responsable de l’ensemble des policiers de la ville de Montréal. Cette histoire a eu des échos jusqu’à l’Assemblée nationale. Monsieur Lafrenière a avoué que la semaine a été difficile. Il a dû répondre à de nombreuses questions des journalistes. Il est un expert dans son domaine et il s’est très bien comment retourner la crêpe à son avantage. Dans ce cas-ci, le malaise n’est pas terminé, mais il y aura toujours quelque chose d’autre dans l’actualité pour alimenter les réseaux sociaux. Les temps ont changé et il faut s’adapter à la nouvelle réalité.
Pour en savoir plus Nathalie Lavoile
514-742-6666
Bonsoir
Vous trouverez ci-joint mes 2 communiqués de presse fait dans le cours ENP 8020 communication publiques, interactions médias et prise de décision
Bonne lecture
Hélène Lamalice
Communiqué de Presse du Journal Les Devoirs Du Savoir
Publié le 23 février 2016, Par Marie-Michèle Thériault
Des parents se plaignent : moisissures retrouvées dans les murs d’une école
(St-Basile-Le-Scolaire) Une cinquantaine de parents ont manifesté ce matin, malgré le temps glacial, devant les portes de l’école primaire Des-Bizarres. Les enfants étaient quand même invités à rentrer en classe et les professeurs et étudiants ont semblé ignorer les cris des parents mécontents.
Rappelons que jeudi passé, dans un communiqué de presse, la société Champignonneurs a affirmé à notre journal avoir découvert de la moisissure dans les murs de l’école. Ils n’ont pas émis de recommandations à ce jour. Il n’y aurait pas eu de cas d’intoxications qui auraient été rapportées à la Santé Publique jusqu’à maintenant selon le médecin responsable du secteur scolaire Jaimen Fou. Il n’a toutefois pas voulu se prononcer sur ce qu’il croit plus prudent pour le moment et a affirmé qu’il préfère attendre le rapport des Champignonneurs avant de déclarer ses recommandations.
Les parents, quant à eux, revendiquent le replacement des enfants dans une autre école le temps que la problématique se règle. Il y avait une douzaine d’enfants absents ce matin à l’école et quelques-uns étaient présents à l’extérieur à manifester avec leurs parents. Jean Témoigne, un père d’un enfant de 2e année a mentionné que la direction refuse de porter action dans ce dossier et que les procédures sont trop longues. « C’est impensable de laisser mon enfant dans un environnement qui est rempli de moisissure et qu’aucune action n’est prise ».
Jaimen Fou, le médecin de la Santé Publique a toutefois tenu à encourager tout parent dont l’enfant présente des troubles tels que : nez bouché, maux de gorge ou infections multiples et à répétitions à consulter un médecin dans les plus brefs délais pour savoir si ces troubles pourraient être reliés à la qualité de l’air dans l’école. La Direction de l’école Des-Bizarres a refusé de répondre à toute demande d’entrevue de notre journal.