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  • Tôt ou tard, il nous faudra contribuer.

    Blogue # 2 - Tôt ou tard, il faudra contribuer UNO.  

    Caroline Bourgea - Mercredi soir à Brossard

     

     

    Que MALGRE FAIT le 74% des Québécois se Disent insatisfaits du budget provincial de M. Raymond Bachand, ministre des Finances; il N'en Demeure Pas Moins que plusieurs Québécois SONT d 'accords Avec l'idée d'établir »des Nations Unies ticket modérateur OU des Nations Unies orienteur billet.

     

    Sieurs couleurs d'sondage des Nations Unies, à la question: ou accord «Etes-vous fr Désaccord Avec le ticket modérateur JUSQU'A 25 $ par visite médicale? »  Le Résultat Suivant une Été le:

     

    ·         48% des Québécois Disent oui

    ·         48% des Québécois non Disent

    ·         4% des Québécois SONT indécis

     

    Same SI UNO Avons Été surprenant sieurs couleurs du budget nouveau, souvenons-nous qu'en 2008, M. Claude Castonguay avait «déjà proposer de faire donneur d'ordre de 25 $ par visite assentiment JUSQU'A médicale de 1% du Revenu du patient.  Pourtant, la proposition de M. Castonguay rejetée par Fut M. Philippe Couillard, ministre de la Santé à l'époque.  Et voilà qu'en 2010, revenons UNO Avec des propositions semblables Bien.

     

    Des Le 1ER juillet 2010, Every pourrait visite médicale franchise Vous UNE coûter de 25 $??  Maïs, n'est CE Pas Tout, de la franchise à this, devrait s'ajouter la contribution UNE Santé Qui sérums de 25 $ this year et sérums Qui renfort de 100 $ en 2011 et Qui Passera à 200 $ en 2012. Terme, une, CELA rapportera aux environs de 945 millions de dollars par year in the plus coffres du gouvernement.  Il NE Faut pas Oublier Que le budget de la Santé Représente 45% du budget provincial.

     

    MAIS voilà qu'au Canada, l'Accès aux Soins de Santé HNE encenser être de gratuit.  L'article 19 de la Loi canadienne sur la Santé indique Que les Frais modérateurs Proscrits SONT.  Côté De fils, la Loi Fédérale Estimé Québec CES Frais modérateurs constituant un obstacle non l'Accessibilité.  À CELA, le ministère québécois Effet des Finances Mentionne Québec aura la franchise de l'ONU orienteur Plutôt Québec modérateur et qu'ainsi la Loi canadienne serait  respectée.

     

    Pourtant, savons UNO Que la Colombie-Britannique et l'Ontario Ontario Etabli des Mesures semblables en Soins de Santé Comme Vous pourrez le voir tableau Dans Le CI-Dessous;

     

    Financement au Contribution de la Santé

    Québec (2 adultes en 2012)

    400 $

    Colombie-Britannique (2 adultes)

    1224 $

    De l'Ontario (1 personne 48 500 $)

    525 $

     

    Ce tableau UNO Permet de constater la contribution proposée au Québec la Semble reasonable same si les Québécois SONT UNE défavorables à la participation additionnelle de négocier en Soins de Santé.  Je Pense Que important qu'il EST CELA Reste Dans Le Québec AFIN reasonable l'pesticide doit le donneur d'ordre capable de. 

     

    attention IAM, Une femme enceinte payera-t-Elle de 25 $ par Every Médecin visite chez son fils versez assureur fils Suivi de Grossesse.  DanS Le Meme ordre d'idée, UNE person Diabète «ayant de l'ONU, OU UNE cancer maladie chronique, Qui Demande Régulier Suivi des Nations Unies, payera-t-Elle visite 25 Every à $??  CES Frais exorbitants pourraient Devenir préposition Compte Tenu du Nombre de visites nécessitées par Leur état de Santé.  Afraid, au Québec serait-CE ainsi que sur les EST malade, plus le PAIE?  Si le malade n'est Pas, le CEST chanceux! ... Sur les AP PAIE NE. Avis MON A, Il Est impensable de laisser sans care les personnes Malades Qui n'ont Pas les Moyens de contribution Leur donneur d'ordre.  Commentaire Le gouvernement prévoit-il PROCEDER DANS CES CAS?? 

     

    of course, Il Est évident qu'il faut »Agir AFIN d'améliorer Notre Réseau de Santé, JE voiture Crois qu'il est malade!  Cesse La NE Dette d'augmenter.  Je suis convaincue qu'il faut »Also responsabiliser la société sur l'utilisation des Soins de Santé de AFIN Maximiser le Fonctionnement du Système de la Santé.  Je Crois contribution financière des Usagers qu'une FERA LA DEMANDE surement package, des Soins et par conséquent, Diminuer les costs repose au Système de la Santé. 

     

    Avis MON A, si UNO voulons Diminuer les heures d'attente in the urgences et au Québec UNO voulons Que les gens se présentent au bon Endroit AFIN d'Réseau AVOIR des Nations Unies de la Santé Plus Efficace, il faudrait Mieux indicateur de la population sur les services Offer CLSC de l'UA.  Les CLSC offrent boucoup de services, MAIS ILS SONT PEU CONNUS Très nominale la population. CELA éviterait à boucoup de gens de se rendent à l'DANS Urgence Les Hôpitaux Quand Leur CAS n'est Pas nécessairement CAS de l'ONU de salle d'Urgence, MAIS Bien CAS OU des Nations Unies de Clinique médicale de CLSC.

     

    payeur Devoir Allons-nous en argent, par carte de crédit OU carte de débit??  Chez le Médecin, serons-nous Notre avant Factures OU visite à la sortie de Notre visite  OU Plus Tard?? Présentement, JE Trouvé Québec UNO Dans Le «sommes au néant de l'application SUJET de participation this aux Soins de Santé.  Il Reste Encore boucoup des balises, de reporting criteria unité de rules A définir, en voiture il ya boucoup de questionnements SUJET CE un.  De Manière everyone, Je Suis Certaine Québec La Classe Moyenne sérums Encore la plus durement Touchée sur le plan financier.

     

    Finalement, NE voulons être de les UNO Pas Seuls À nous Serrer la ceinture. Commentaire assureur pourrons-nous UNO Québec le gouvernement utilisera Vraiment CES fonds en Soins de Santé et au Québec CES fonds NE seront Utilise Pas à cause d'Autres?  Je souhaite Que le gouvernement tiendra parole et qu'il limitera SES expenditure AFIN de Lui also Participer à la réduction du déficit. 

     

    Références: Site internet: www.cyberpresse.ca

                       Journal de Montréal

                       Nouvelles TVA et LCN

  • Tôt ou tard, il nous faudra contribuer.

    Blogue #2 - Tôt ou tard, il nous faudra contribuer.  

    Caroline Bourgea - mercredi soir à Brossard

     

     

    Malgré le fait que 74% des Québécois se disent insatisfaits du budget provincial de M. Raymond Bachand, ministre des Finances; il n’en demeure pas moins que plusieurs Québécois sont d' accords avec l'idée d'établir un ticket modérateur ou un ticket orienteur.

     

    Lors d'un sondage, à la question: « Êtes-vous en accord ou en désaccord avec le ticket modérateur jusqu'à 25$ par visite médicale? »  Le résultat a été le suivant :

     

    ·         48% des Québécois disent oui

    ·         48% des Québécois disent non

    ·         4% des Québécois sont indécis

     

    Même si nous avons été surpris lors du nouveau budget, souvenons-nous qu’en 2008, M. Claude Castonguay avait déjà proposé de faire payer 25$ par visite médicale jusqu’à concurrence de 1% du revenu du patient.  Pourtant, la proposition de M. Castonguay fut rejetée par M. Philippe Couillard, ministre de la Santé à l’époque.  Et voilà qu’en 2010, nous revenons avec des propositions bien semblables.

     

    Dès le 1er juillet 2010, chaque visite médicale pourrait vous coûter une franchise de 25$??  Mais, ce n'est pas tout, à cette franchise, devrait s'ajouter une contribution santé qui sera de 25$ cette année et qui sera augmentée à 100$ en 2011 et qui passera à 200$ en 2012. À terme, cela rapportera aux environs de 945 millions de dollars par année de plus dans les coffres du gouvernement.  Il ne faut pas oublier que le budget de la santé représente 45% du budget provincial.

     

    Mais voilà qu'au Canada, l’accès aux soins de santé est censé être gratuit.  L’article 19 de la Loi canadienne sur la santé indique que les frais modérateurs sont proscrits.  De son côté, la loi fédérale estime que ces frais modérateurs constituent un obstacle à l’accessibilité.  À cela, le ministère québécois des Finances mentionne que la franchise aura un effet orienteur plutôt que modérateur et qu'ainsi la loi canadienne serait  respectée.

     

    Pourtant, nous savons que la Colombie-Britannique et l'Ontario ont établi des mesures semblables en soins de santé comme vous pourrez le voir dans le tableau ci-dessous;

     

    Contribution au financement de la santé

    Québec (2 adultes en 2012)

    400$

    Colombie-Britannique (2 adultes )

    1224$

    Ontario (1 personne 48 500$)

    525$

     

    Ce tableau nous permet de constater que la contribution proposée semble raisonnable même si les Québécois sont défavorables à négocier une participation additionnelle en soins de santé.  Je pense qu’il est important que cela reste dans le raisonnable afin que l'on soit capable de payer. 

     

    Mais attention, une femme enceinte payera-t-elle 25$ à chaque visite chez son médecin pour assurer son suivi de grossesse.  Dans le même ordre d'idée, une personne ayant un diabète, un cancer ou une maladie chronique, qui demande un suivi régulier, payera-t-elle 25$ à chaque visite??  Ces frais pourraient rapidement devenir exorbitants compte tenu du nombre de visites nécessitées par leur état de santé.  Alors, serait-ce que plus on est malade, plus on paie?  Si on n’est pas malade, on est chanceux!... On ne paie pas. À mon avis, il est impensable de laisser sans soins les personnes malades qui n’ont pas les moyens de payer leur contribution.  Comment le gouvernement prévoit-il procéder dans ces cas?? 

     

    Bien sûr, il est évident qu’il faut agir afin d’améliorer notre réseau de santé, car je crois qu’il est malade!!!  La dette ne cesse d'augmenter.  Je suis convaincue qu’il faut aussi responsabiliser la société sur l’utilisation des soins de santé afin de maximiser le fonctionnement du système de la santé.  Je crois qu’une contribution financière des usagers fera sûrement baisser la demande des soins et par conséquent, diminuer les coûts reliés au système de la santé. 

     

    À mon avis, si nous voulons diminuer les heures d’attente dans les urgences et que nous voulons que les gens se présentent au bon endroit afin d’avoir un réseau de la santé plus efficace; il faudrait mieux informer la population sur les services offerts au CLSC.  Les CLSC offrent beaucoup de services, mais ils sont très peu connus par la population. Cela éviterait à beaucoup de gens de se rendent à l’urgence dans les hôpitaux quand leur cas n’est pas nécessairement un cas de salle d’urgence, mais bien un cas de clinique médicale ou de CLSC.

     

    Allons-nous devoir payer en argent, par carte de crédit ou carte de débit??  Chez le médecin, serons-nous facturés avant notre visite ou à la sortie de notre visite  ou plus tard?? Présentement, je trouve que nous sommes dans le néant au sujet de l'application de cette participation aux soins de santé.  Il reste encore beaucoup des balises, de critères ou de règles à définir, car il y a beaucoup de questionnements à ce sujet.  De toute manière, je suis certaine que la classe moyenne sera encore la plus durement touchée sur le plan financier.

     

    Finalement, nous ne voulons pas être les seuls à nous serrer la ceinture. Comment pourrons-nous nous assurer que le gouvernement utilisera vraiment ces fonds en soins de santé et que ces fonds ne seront pas utilisés à d'autres causes?  Je souhaite que le gouvernement tiendra parole et qu'il limitera ses dépenses afin de participer lui aussi à la réduction du déficit. 

     

    Références : Site internet : www.cyberpresse.ca

                       Journal de Montréal

                       Nouvelles TVA et LCN

     

     

     

  • Une richesse translucide et inodore.

    Blogue #2 Éric Tétreault Montréal (hiver 2010)

     

    Une richesse translucide et inodore. 

     

    Lors des jours de pluie, je ne peux m’empêcher de penser à cette grâce qui nous tombe du ciel. Sans elle toute vie serait impossible au même titre que l’air. Je sais que plusieurs d’entre-nous trouvent à redire lorsqu’elle nous tombe dessus au moment inopportun, qu’elle perturbe souvent nos week-ends et nos activités extérieures mais si on pense aux bienfaits qu’elle nous procure ainsi que ceux qu’elle procure à l’environnement, nous n’avons d’autres choix que de l’apprécier.

     

    L’humain, par sa nature, veut contrôler son entourage et son environnement. Il est l’espèce vivante qui a le plus d’impacts sur son environnement en essayant de l’adapter à ses besoins. Par son impacts sur son environnement, l’humain modifie la nature et tente de la contrôler…il est normal que celle-ci tente de reprendre ses droits voire ses habitudes. Voilà pourquoi nous voyons tant de cataclysme survenir et tant de bouleversements des températures et du climat… L’eau est source de vie, elle fait partie de toutes les facettes de notre vie et elle est présente à tous les moments, partout. Qu’elle soit libre (mers, rivières, etc.), contrôlée (canaux, digues, barrages, etc.), modifiée (constituante des plastiques, nourriture, etc.), elle est toujours là. Arrêtez-vous quelques minutes et pensez-y! Que ferions-nous sans elle!

     

    Dans les pays dit « civilisés », que l’homme vive dans de grandes mégapoles ou isolé, il a créé et a besoin d’infrastructures pour amener l’eau potable à lui. Saviez-vous qu’au Québec, les municipalités sont les premières responsables pour offrir une eau de qualité à leurs citoyens et citoyennes. Naturellement, elles sont aidées et supportées par les différents paliers de Gouvernement pour la mise en place des infrastructures d’approvisionnement, pour favoriser la réhabilitation des réseaux d’aqueduc et pour les aider à assurer la conformité des dispositifs de traitement des eaux usés. Je pense sincèrement que ces infrastructures ont favorisé et favorise toujours l’effet pervers de sur-utilisation : il s’agit de tourner un robinet et l’eau coule à flot! Ce mode de consommation abusif génère une demande de plus en plus forte de traitement de l’eau potable et d’assainissement des eaux usés. De plus, la capacité des municipalités et de leurs infrastructures pour traiter toute cette eau diminue d’année en année et il est ainsi devenu inévitable de faire des efforts afin de corriger la situation. Rappelons-nous la crise des compteurs d’eau à Montréal; ce dossier a mal tourné (ou a été mal géré!) mais pour moi s’était le début d’une nouvelle ère. La ville de Montréal avait et a ses devoirs à faire avec ses infrastructures qui tombent en ruine (c’est connu qu’elle perd plus de 40% des eaux qu’elle a traité!). Ce projet des compteurs d’eau est mort pour l’instant, mais je suis sûr qu’il refera surface dans les mois à venir! 

     

    Malgré ce que plusieurs semblent penser, cette richesse n’est pas intarissable. L’eau recouvre 70 % de la planète mais seulement 2.5% de cette eau est douce! L’eau douce, c’est l’eau potable; l’eau que nous utilisons chaque jour. Au Québec, nous sommes choyés car le Québec compte 3% des réserves mondiales d’eau douce. Est-ce une raison de la gaspiller? Je ne crois pas, et j’ose espérer que vous êtes en accord avec moi! Quand je vois mes voisins laver leur stationnement, les entrées de cour, leur voiture : gaspiller l’eau abondamment, cela m’enrage! Je ne sais quoi dire, ni quoi faire quand je vois ces situations et je ne peux m’empêcher de penser au 2.5 milliards de personnes sur la planète vivant sans système sanitaire adéquat. Ni au 884 millions de personnes, majoritairement en Afrique, qui n’ont pas accès à un point d’eau potable et 1.5 millions d’enfants âgés de moins de 5 ans qui meurent chaque année de maladies causées par de l’eau contaminée (pollution, bactéries, parasites, etc.). Trèves de statistiques, il faut voir au-delà des chiffres! Il est vrai que lorsque la pénurie ou le manque d’eau se situe loin de nous, il est facile de l’occulter de notre esprit. Cependant, lorsque nous en sommes conscients, nous nous devons être préoccupés par notre surconsommation d’eau actuelle et trouver des moyens d’en faire une utilisation raisonnable.

    Depuis plusieurs années, différents organismes et Gouvernement tentent de mobiliser la population et de créer des programmes afin de favoriser l’économie d’eau et d’en faire une utilisation adéquate. Cette conscientisation sur l’importance de la préservation de l’eau fait son bout de chemin auprès de la population et semble être de plus en plus omniprésente. Sans être écolo à outrance, je favorise et encourage les gens autour de moi à faire attention à l’environnement. Concrètement, je fais du recyclage depuis plusieurs années, je récupère tout ce qui peut l’être : je recueille l’eau de pluie pour arroser les jardins et les fleurs et pour engraisser mon terrain, je composte les restes de végétaux. J’ai commencé à faire ces pratiques graduellement : une fois le recyclage bien établi, j’ai commencé à récupérer l’eau de pluie et par la suite, me suis intéressé au compostage. Cela semble compliqué, et très demandant mais il s’agit de prendre le temps de comprendre les concepts, de changer un peu ses habitudes (donc en créer de nouvelles!) et d’avoir la conviction que cela améliorera notre qualité de vie et celle des générations futures. Il n’y a rien de sorcier dans tout cela, il s’agit de l’apprivoiser. Chaque petit geste compte et est un gain pour tous!

     

    Voici quelques données qui pourraient vous sensibiliser un peu plus : en moyenne, 200 litres d’eau sont utilisés quotidiennement par chaque être humain au Royaume-Uni, cette quantité diminue à 150 litres en France et à 137 litres si on tient compte de toute la planète alors qu’au Québec, cette moyenne est de 400 litres par jour par personne. Ces données donnent de quoi réfléchir et ont amené des plans d’actions de l’État!

     

    Parmi les mesures prisent, plusieurs lois ou législations ont pavé la voie à la Loi sur l’eau. Parmi celle-ci, la Politique nationale de l’eau du Parti Québécois lancée le 26 novembre 2002 comportait 3 axes principaux :

    1-      Reconnaître l’eau comme patrimoine collectif des québécois.

    2-      Assurer la protection de la santé publique et des écosystèmes aquatiques.

    3-      Gérer l’eau de façon intégrée dans une perspective de développement durable.

     

    Puis, il y a eu l’adoption à l’unanimité par l’assemblée nationale de la Loi sur l’eau du parti libéral du Québec le 11 juin 2009. Cette loi est venue confirmer que les ressources d’eau font partie du patrimoine de la collectivité et que l’État en est le gardien, au bénéfice des générations actuelles et futures. Du même coup, elle a confirmé le statut juridique de l’eau, qu’elle soit de surface ou souterraine.

    La législation de l’eau n’est pas tout, même si une grande partie de la population se dit concernée et préoccupée par l’environnement, elle n’est pas prête à changer drastiquement ses habitudes ni à faire des concessions afin de diminuer ses impacts environnementaux. L’enjeu majeur est de conscientiser la population et de la faire passer des paroles aux gestes…la marche est haute, certains ne la graviront pas alors que d’autres emboîtent déjà le pas!

     

    Une des dernières tentatives médiatisées de sensibilisation concernant la préservation de l’eau est celle de Guy Laliberté qui est allé sur la lune pour créer l’emphase sur l’importance de la préservation de l’eau et pour publiciser son organisme « One drop ». Malgré ce geste grandiose, j’ai personnellement de la difficulté à comprendre qu’il ait « dépensé » plusieurs millions de dollars pour ce coup publicitaire qui, selon moi, n’a pas eu l’effet escompté ailleurs sur la planète. Ici, au Québec, cela a attiré l’attention des médias mais cela s’arrêtait à l’image, il n’y en avait quasiment que pour son nez de clown…pas de contenu. Le message de préservation de l’eau, le soi-disant but de ce voyage lunaire, me fait l’effet d’être une excuse pour un mégalomane de se payer un voyage sur la lune pour qu’il se donne bonne conscience! Dernièrement, une rumeur est à l’effet qu’il voudrait répéter l’exploit. Est-ce pour satisfaire un besoin personnel! Remarquez que je n’ai absolument rien contre cet homme, bien au contraire mais la répétition d’une initiative infructueuse est, selon moi, questionnable.

     

    C’est maintenant à votre tour de vous lancer, si cela n’est pas encore fait. Comme il n’existe aucun substitut à l’eau, sa protection, sa restauration, sa mise en valeur ainsi que sa gestion représentent des défis qu’il nous faut relever collectivement pour le bénéfice des générations actuelles et futures. Comme dit précédemment, chaque petit geste compte, pour le bien de la planète et pour le bien des générations futures!

     

    Sources d’informations:

    1-UNESCO.org : UNESCO water portal bi-monthly newsletter No 228: the Pacific Islands (traduction libre dans le texte).

    2-Ministère du développement durable, Environnement et parcs (MDDEP.gouv.qc.ca)

    3-Onedrop.org

    4-Science et vie

    5-Document « la gestion de l’eau », Ministère de l’environnement du Québec, (1999).