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  • S'impliquer au sein de l'AEENAP : une tâche ardue mais au combien valorisante !

    Après avoir sondé une dizaine d'étudiant(e)s au sein de l'École nationale d'administration publique sur leur association étudiante, tous et toutes arrivaient à la même conclusion : mais qu'est-ce que fait l'AEENAP ? Comment puis-je en bénéficier ?

    Il est donc clair qu'au sein de l'ENAP, l'association étudiante s'avère à être effacée, notamment par le contexte social qui permet de rendre compte d'une réalité hors-norme au sein d'une université. En effet, plus de 70% des étudiants sont à temps partiel et plusieurs d'entre eux ont déjà une carrière au sein de la fonction publique.

    L'association étudiante de l'ENAP doit donc relever un défi de taille, notamment en ce qui concerne l'implication de ses membres. En tant que coordonnatrice du campus de Montréal, il m'a été difficile de rejoindre la majorité des étudiant(e)s dans la planification d'activités universitaire. Je vous présente donc aujourd'hui, par le volet s'inscrivant au sein de la gestion participative ainsi que celui relevant de la défense des droits, certains de mes accomplissements.

    D'énormes défis et de travail acharné mais que de plaisir à connaître les membres de l'AEENAP !!!

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  • Mise en place du Projet d'amélioration de l'accès aux services d'assainissement durable (PAASAD) au Burkina Faso

    Entre 2000 et 2008, le secteur de l’assainissement connaît un grand retard au Burkina Faso. Ce retard se traduit par un faible accès des populations par un faible accès des populations aux ouvrages d’assainissement, la mauvaise utilisation et le mauvais entretien des ouvrages existants. Cette situation préoccupante concerne les régions du Centre Nord et du Centre Est et affecte gravement la santé de la population et particulièrement celle des enfants. La grande majorité des populations des villages de ces régions sont confrontées à une pénurie de latrines, ce qui les contraint à adopter la pratique de défécation dans la nature. Cette pratique a entraîné des conséquences négatives sur la santé, l’environnement et la dignité humaine. De plus, les conséquences du manque d’infrastructures d’assainissement et la non pratique des règles d’hygiène exposent les populations aux maladies diarrhéiques, aux parasitoses, à la fièvre typhoïde et au paludisme qui ont des incidences sur le taux de mortalité infantile. Les maladies diarrhéiques constituent la deuxième cause de mortalité dans ces zones.
    Pour inverser la tendance et apporter une réponse à cette situation préoccupante, l’État Burkinabé a entrepris avec l’assistance financière et technique de l’Union Européenne une action qui vise à améliorer la santé des populations cibles par la réduction du pourcentage des personnes qui défèquent dans la nature et le nombre de personnes qui ne respectent pas les règles de base d’une bonne hygiène.
    Cette action vise un double objectif :
    L’Objectif général du projet vise à contribuer à l’amélioration de la santé des populations en réduisant durablement les pratiques de défécation dans la nature dans les provinces du Kourittenga dans la Région du Centre-Est et du Bam dans la Région du Centre-Nord.
    L’Objectif spécifique vise à améliorer les pratiques d’hygiène et l’accès durable des communautés aux infrastructures d’assainissement de base dans les 18 communes rurales du Kourittenga et du Bam.

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