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Ebola: vent de psychose et mobilisation générale.

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Commentaires

  • Lors du brunch participatif, mes collègues et moi avons abordé la question de l’Ébola avec le ministre Bolduc. Je lui ai demandé comment les hôpitaux éliminaient le virus de l’Ebola ou d’autres virus contagieux dans la chambre où le patient a été traité. Il m’a répondu qu’une équipe de gens vient nettoyer la chambre à la main avec des produits spéciaux. Euh… c’est tout? Voilà les mesures de préventions qu’a choisi le gouvernement pour protéger les citoyens et le personnel oeuvrant dans les hôpitaux. Je suis particulièrement sensible car mon oncle qui est infirmier a contracté l’hépatite parcequ’une chambre d’un patient n’avait pas bien été nettoyée. Les médias ne cessent de nous informer de cas de personnes qui ont contractées une maladie grave par un nettoyage mal fait. Le gouvernement a la preuve qu’il ne peut pas se fier sur une équipe de gens qui nettoient à la main. Comment peut-il s’assurer qu’ils ont bien fait leur travail? Qu’ils n’ont pas oublié un coin? Plusieurs virus graves survivent sur les surfaces plusieurs jours. Et comment décontaminent-t-ils l’air? Le gouvernement aura beau sensibiliser son personnel de nettoyage, l’homme est humain et l’erreur est humaine. Le risque demeurera.
    Le gouvernement devrait recourir à des moyens plus fiables et efficaces. Il devrait engager une firme spécialisée dans les nouvelles technologies de décontamination comme Pharma-Med-Science. Pharma-Med-Science est une entreprise québécoise qui est souvent appelée pour décontaminer les salles d’opérations ou les laboratoires nouvellement construits. L’entreprise utilise une nouvelle technologie performante qui élimine totalement le risque de contamination. Elle vaporise du peroxide d’hydrogène à l’aide d’un robot. Le peroxide d’hydrogène arrive sur une plaque chaude et se transforme en vapeur pour être ensuite propulsée dans toute la pièce. Le robot dissipe de la vapeur de peroxide d’hydrogène jusqu’à ce que la chambre est complètement saturée de peroxyde d’hydrogène. Cette technologie permet de décontaminer toutes les surfaces jusque dans les moindres fissures du plancher sans endommager l’équipement ou le mobilier qui n’a pas besoin d’être déménager. Aucun virus n’y survit sur les surfaces ou dans l’air. Le risque de contamination est éliminé à 100%.

    La prévention c’est aussi ça.

  • Lors du brunch participatif, mes collègues et moi avons abordé la question de l’Ébola avec le ministre Bolduc. Je lui ai demandé comment les hôpitaux éliminaient le virus de l’Ebola ou d’autres virus contagieux dans la chambre où le patient a été traité. Il m’a répondu qu’une équipe de gens vient nettoyer la chambre à la main avec des produits spéciaux. Euh… c’est tout? Voilà les mesures de préventions qu’a choisi le gouvernement pour protéger les citoyens et le personnel oeuvrant dans les hôpitaux. Je suis particulièrement sensible car mon oncle qui est infirmier a contracté l’hépatite parcequ’une chambre d’un patient n’avait pas bien été nettoyée. Les médias ne cessent de nous informer de cas de personnes qui ont contracté une maladie grave par un nettoyage mal fait. Le gouvernement a la preuve qu’il ne peut pas se fier sur une équipe de gens qui nettoient à la main. Comment peut-il s’assurer qu’ils ont bien fait leur travail? Qu’ils n’ont pas oublié un coin? Plusieurs virus graves survivent sur les surfaces plusieurs jours. Et comment décontaminent-t-ils l’air? Le gouvernement aura beau sensibiliser son personnel de nettoyage, l’homme est humain et l’erreur est humaine. Le risque demeurera.
    Le gouvernement devrait recourir à des moyens plus fiables et efficaces. Il devrait engager une firme spécialisée dans les nouvelles technologies de décontamination comme Pharma-Med-Science. Pharma-Med-Science est une entreprise québécoise qui est souvent appelée pour décontaminer les salles d’opérations ou les laboratoires nouvellement construits. L’entreprise utilise une nouvelle technologie performante qui élimine totalement le risque de contamination. Elle vaporise du peroxide d’hydrogène à l’aide d’un robot. Le peroxide d’hydrogène arrive sur une plaque chaude et se transforme en vapeur pour être ensuite propulsée dans toute la pièce. Le robot dissipe de la vapeur de peroxide d’hydrogène jusqu’à ce que la chambre soit complètement saturée de peroxyde d’hydrogène. Cette technologie permet de décontaminer toutes les surfaces jusque dans les moindres fissures du plancher sans endommager l’équipement ou le mobilier qui n’a pas besoin d’être déménagé. Aucun virus n’y survit sur les surfaces ou dans l’air. Le risque de contamination est éliminé à 100%.

    La prévention c’est aussi ça et le gouvernement a cette responsabilité. Sans compter que cette mesure représente d’éventuelles économies pour l’État en termes de soins de santé et de services sociaux.

  • BIEN REÇU MÉLANIE.
    ON VA MAINTENANT SCRUTER ÇA AVEC ATTENTION.
    BRAVO POUR AVOIR OSÉ.
    Votre nom sur proftrudel@hotmail.com svp.

  • OK OK OK POUR ...TON NOM
    A+

  • Je suis impressionnée par cette technologie et j'espère qu'Ebola sera l'événement déclencheur pour que de tels systèmes ingénieux soient utilisés dans les établissements de santé québécois. Et utilisés de façon régulière pour traiter tout type d'infection et pas seulement un éventuel cas d'Ebola.

    Les situations de crises sont souvent les déclencheurs de grandes innovations. Acculé devant une situation où il n'est plus possible de fonctionner comme auparavant, l'homme est alors capable de grande créativité et surtout d'une mise en œuvre concrète rapide de nouvelles façons de faire. Comme disait Bernard Stiegler, philosophe et directeur de l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) du centre Pompidou. « C’est toujours dans les crises que les choses importantes surviennent dans le savoir, qu’il soit scientifique, artistique, politique ou religieux. La société occidentale s’est construite sur des crises successives » (mai 2012).

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